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26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 08:57

 yé vous aime d'un amour "proufond" parce que je viens d'avoir mon fou rire du matin, grâce aux mots clés que vous tapez pour venir ici:

alors
à la première place:

-plan cul grosse et moche

on applaudit.


deuxième place:
-je montre mes seins


on applaudit bien fort.


troisième place:
-beauté fatale du 19ème


et on applaudit bien fort, le choix a été difficile.
mais merci ;)

ps en tapant (par simple curosité, tu te doutes bien) plan cul grosse et moche sur google, il y a un lien qui t'envoit sur, je cite, "forum transpiration"
la journée démarre plutôt bien les choux.
ps au carré, cette photo, elle est sur mon ancien blog.
va faloir qu'on s'explique moi, et mon hémisphère droit.

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26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 08:42

red

au passage, parce que je ne suis pas encore tout à fait réveillée.
je vais te parler de mon problème existentiel, tu t'en doutes, du matin.
bon alors déjà, le programme de la journée: manif.
Mais attends voir, manif carnavalesque.
Oui, je suis sûre que toi tu te dis " waou comme l'Univers Carnavalesque de Rabelas, avec renversements, et réhabilitation du bas corps, débauche, ivresse, etc.."
bon, alors que je te dise un truc canard, tu as très bien appris ton cours, c'est bien, mais là, c'pas trop ça tu vois.
non, on doit venir habiller en rouge.
et donc, mon problème, je n'ai pas de rouge.
Saperlotte me diras tu, mais tout le monde a du rouge!
ou pas.
j'vais mettre mon écharpe, et un ruban rouge dans mes tentacules (merci Valère Millot ), voire une fleur rouge.
je mettrais un filet à poisson et un morceau de fish crabe (plus communément appelé "surimi", mais, va pas chercher pourquoi, le mot fish crabe me fait marrer, et me rappelle Waterworld, un film génial...  je t'ai prévenu que je faisais du second degrès,  non parce que si tu prends tout au pied de la lettre, je suis mal, mais très mal..) dans ma crinière inflammable.
en plus, VDM, il fait gris.


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25 février 2009 3 25 /02 /février /2009 18:47

Les cahiers de texte, bordel, ils sont où ?

Même si la case collège est une case que j’aimerais oublier, je ne peux pas ne pas la mentionner.

Bon, le collège alors.

Déjà le collège, c’est la technologie et la musique.

Alors écoute.

Je propose un nouveau programme pour ces deux matières.

Et si, tiens toi bien, on fabriquait une flûte lumineuse en techno ?

Non parce que va pas me dire que tu utilises tes superbes enceintes et ton porte clé lumineux tous les jours ?

Bon, ok la cascade lumineuse, tu peux plus t’endormir sans.

Oui, ton porte crayon est très beau placé ainsi sur ton bureau.

Moi j’vais te raconter un truc.

La technologie, ça a jamais été mon kiffe.

Enfin la matière hein, rassure toi, je fonctionne en bluetooh à longueur de journée, et je pense face book.

Poc.

Attend, deux sec’.

J’ai un message.

Non, mais dis moi toi là, tu connais quelqu’un qui a aimé étudier le système hiérarchique dans une entreprise ?

Bon, ok, y a bien eu l’activité super qui consistait à découper les différents composants d’une boîte de céréale.

Oui, oui, moi aussi, j’y ai eu le droit.

Bon après t’avais la musique pour réveiller ton côté artiste, mais je crois que la prof n’a pas forcément aimé ta reprise à la flûte d’Offspring.

Oui, tu écoutais Offspring, et tu  portais fièrement ce bracelet avec des pics que tu regardes toujours en versant une larme et en murmurant «  ah c’était le bon temps ! ».

Bah moi, le collège, tu vois, ça a jamais été du bon temps. 

Je vais te parler de ce fléau qui sévit dans les cours, qui n’est plus la cours de récréation /

LA VICTIMISATION.

On y passe tous, et on en bave tous de manière plus ou moins intense.

Nique ta mère, j’te pète ta gueule.

Va pas me dire que c’est peace and love au collège, j’te crois pas.

La poésie collégiale est géniale, avouons le.

Ta gueule.

Connard.

Sale pute.

J’vais te défoncer à la sortie.

Ah la fameuse sortie.

Petit conseil de Mami Mo.

Si un jour, une connasse, je m’emporte, pardon, une camarade de ta classe, te coince les doigts entre deux tables et que tu lui réponds « putain t’es conne ou quoi, mes doigts », et que cette même personne te réponds «  putain, j’vais te défoncer à la sortie ! ».

Tu as deux choix.

Soit tu aimes la bagarre, et tu es plus grand qu’elle.

Tu la défonces, et tu penses à moi.

Soit tu fermes ta gueule et tu attends la sortie, la peur au ventre.

Tu te fais défoncer.

Mais admettons que tu aimes la douleur.

Tout le monde y gagne.

Soit.

Ou alors, tu lui glisses ce fameux mot qui fait tant râler les profs’, en écrivant «  je suis un peu sur les nerfs,  mon arrière grand-mère vient de mourir ».

C’est la solution que j’ai adopté.

Quoi ?

Jeune et conne, et alors.

 C’est pas toi qui étais assise à côté d’une terreur qui te piquait tes stylos plumes diddle, et c’est pas toi non plus qui a eu un pot de blanc renversé (comme par hasard… mais bien sûr) dans tes cheveux et sur ton super manteau en jean que tu aimais d’un amour pur et profond.

Alors tais toi.

Mais bon, comme les bonnes choses ont une fin, le collège se termine.

Et cette victimisation devient marrante, on se sent con de pas avoir ouvert sa gueule, et d’avoir passé la nuit au CDI (ce fameux CDI…) parce qu’à la sortie tu serais mort.

Bon, ok, ta mère on l’a niqué à plusieurs reprises.

 Je sais, ça fait jamais du bien.

Et puis après, y a les anecdotes sur les profs qui reviennent au galop.

Un épisode récurrent source d’une grande angoisse au collège :

Le cahier d’appel et le cahier de texte.

Oui, toi aussi tu as passé une semaine et plus dans ta vie, à passer chercher le cahier.

Le plus généralement, on l’oublie dans une salle, ou on l’oublie tout court.

Et puis, je crois qu’on se passe difficilement de cette phrase :

« il est où le cahier d’appel ?? »

Alors là, tu te dis merde.

Tu vas devoir te lever, te faire juger des pieds à la tête par tes camarades pré-pubères, tu vas devoir frapper à une porte qui s’ouvrira sur des inconnus qui te jugeront encore.

Ah le collège.

Le jogging qu’on oublie (toujours pour les filles) lors du cours d’EPS ;

Rien que le mot fait mal.

EPS.

Et l’SVT.

Putain on étudie les punaises et les cloportes, réjouissant tu me diras.

Je me souviens que j’avais eu une bonne note parce que mes punaises avaient fait un œuf.

Oui, je sais, je me passerais de tes commentaires, et répondrai juste :

C’est le miracle de la vie.

Alors on commence à s’assumer, on met des baskets et pas que pour aller faire du sport.

On demande un EASTPACK, un porte clé Diddle, on veut de l’indépendance et pouvoir regarder Love Story en paix.

On a un carnet de liaison.

On l’oublie souvent et puis..

On le customise.

DECO et le scrapbooking c’est de la rigolade par rapport aux agendas de collègiens.

« tu me marques un mots ? allez steuplait ! ».

Alors au lieu d’écouter ce cours passionnant sur la tectonique des plaques, on écrit un mot.

« Jt’e kiffe, t’es ma BBF ; Big Bisous Bien Baveux Belle Blonde »

 (remarque que ça marche aussi avec les Brunes mais pas avec les rousses… )

On fait passer des mots de façon super discrète…

Tu crois qu’il me regarde ?

Putain ça me fait chier, mon daron veut pas que je devienne chanteuse grâce à Pop Star.

Ah l’adolescence et ses joies.

Moi, quand je repense à toutes ces années ( mode vieille activé), j’en ris.

Je dois t’avouer que pour mon arrière grand-mère, j’en ris.

Mon vieux baggy est au fond de l’armoire, vestige d’un temps révolu.

Mes bracelets à pics (et avec des flammes) prennent la poussière.

C’est la vie que veux tu.

Et d’un coup, le petit con que nous étions tous au Collège respire un coup, et voit qu’il a grandi.

Et qu’on se dit.

Putain merde, c’est fou ce que le temps passe.

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23 février 2009 1 23 /02 /février /2009 18:05
Parlons chichi veux tu.
Bon, alors premier constat, je fais partie de la catégorie appelée par la plupart d'entre vous "les meufs", alors, je revendique mon bon droit, c'est à dire, parler un peu chichi, cheveux, chaussures, etc..
Bon.
Pour répondre à l'interrogation de certains sur mon changement capillaire brutal.
mais qu'est ce qu'elle a fait à ses cheveux?
Tu crois que c'est des vraies?
A cette question mon canard, je te répondrais non.
ce sont des fausses, tkt, tressées à la base de mes cheveux, ça fonctionne comme ça.
donc oui, je suis désormais, potentiellement inflammable de la tête puisque ce sont des cheveux en plastique.
Alors range moi ce briquet, et sors de ta tête toute pensée pyromane, je te prie.
donc je vais les garder environ un mois.
je sais, je suis un poulpe.
MAJ un Kraken, si tu préfères.
Mesonychoteuthis oui, si tu veux.
et non, je ne te chanterai pas Telling Stories, ni talking 'bout a revolution.
ne te met pas à genoux, c'est inutile.
Par contre, si tu veux te prosterner devant moi, tu peux.
je te laisse la possibilité de faire cette blague minable. Non en fait je vais te devançer.
"elle en a une grosse touffe".
merci.
oui oui, c'est fin, parfait pour les petites faims.


et oui, je kiffe de la balle de la mort qui ch'tue, ma salle de bain, alors steup', tais toi.


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22 février 2009 7 22 /02 /février /2009 12:16
Bon, bah ça y est, c'est parti.
billets pour Budapest reservés.
pas encore pour le festival, mais ça ne serait tarder.
Je prends des vacances, "on démarre".
Bon, c'est en Août, j'ai encore le temps tu me diras.
Mais je prends des vacances, loin, loin d'ici, loin.
Voyage Voyage.
je sais
je suis ringarde et alors.
dimanche, dimanche, je zone encore en tenue de compétition, c'est à dire caleçon écharpe et sweet informe.
je suis very sexy.
that's all.
disons que je suis en tenue post apocalyptique de soirée.
haleine de cendrier
pas forcément le bienvenu
pieds congelés de marcher sur le carrelage.
je hante facebook;
quelle angoisse.
voilà le niveau intellectuel du dimanche matin
ah oui
je suis ruinée.
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21 février 2009 6 21 /02 /février /2009 12:21




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21 février 2009 6 21 /02 /février /2009 12:19

Alors, la grève ?

Je vous entends dire « ça commence à faire long ».

Je sais.

C’est long.

Les cours commencent à me manquer, voire, me manquent déjà.

3 semaines.

Nous entamons notre quatrième semaine de grève active.

Nous augmentons de jour en jour, construisant une armé d’intellectuels, en mal d’Université.

Car même si on aime notre Fac comme ça, c'est-à-dire, animée, occupée, et vivifiée par  les ateliers et les paroles des étudiants et des professeurs, notre Fac tranquille, notre Fac normale commence à nous manquer.

Les cours nous manquent.

Nous sommes sortis de la routine, et parfois, la sécurité de celle-ci nous manque.

En tout cas, aujourd’hui, je ne suis plus que le numéro 20700675, je suis Morgane Stampfer, gréviste.

Je vous ai balancé des tracts, mais au final, je n’ai jamais donné vraiment mon avis dessus, à part dire « non je ne veux pas ça ! »

Alors pourquoi ?

Commençons par la loi LRU qui  commence à un peu dater.

Ça fait peur tous ces mots, LRU, CA, CEVU, je sais, ça m’a fait peur.

Mais j’ai appris le jargon, et maintenant, ça passe presque tout seul.

Pour être franche, ne m’en demande pas trop non plus.

Bon LRU, c’est quoi ce truc ?

Une marque de lessive ?

Alors, que je t’explique mon poulet.

LRU c’est la loi relative aux libertés et responsabilités des Universités.

Qu’est ce qu’elle dit ?

Je crois qu’elle bafouille, j’ai rien compris.

Si tu préfères, ça parle de l’autonomie des Universités.

C’est vrai ?

Que je te dise ce qui va au fur et à mesure arriver.

Limite j’ai envie de te faire en filigrane une description de l’apocalypse universitaire.

Autonomie, c’est un beau mot, j’te jure, c’est vrai, comme liberté.

Mais t’oublies un mot fondamental, égalité.

Ce qui va se passer, c’est qu’il n’y aura plus de diplôme national, et de ce fait, une inégalité des diplômes entre eux.

Alors dis moi si tu trouves ça normal que Jean Denis de la Motte qui a fait ses études dans le 6ème, ait un diplôme qui « vaut plus » que celui de Denis Jean Moutte, qui a trimé pour faire ses études et obtenu son diplôme.

Non.

Je trouve ça dégueulasse.

Je ne veux pas m’endetter pour faire des études et avoir un diplôme de merde ( regarde à  modification des enseignants chercheurs), sous prétexte que ça se passe comme ça aux Etats Unis.

Je vais te dire aussi un autre truc.

Ça te dit que ta Fac devienne une entreprise ?

Hein, qué dices ?

Avec cette loi, les entreprises pourront investir dans ton Université.

Ça te dit que ton savoir devienne une marchandise ?

Non parce que tu vois, si tu es un matheux, forcément, c’est utile.

Mais nous les littéraires, qui buvons de la bière, on fait quoi ?

La culture n’est pas rentable alors dehors.

C’est quoi ça ?

je te met le tract, elle résume bien ce que je pense.

Et ça me permet d’aller à mon idée principale.

 

La France, c’est quoi pour toi ?

La France, c’est une entité unique.

Pas que pour la baguette, le pinot, et le camembert.

On est le pays des droits de l’homme, de la révolution française quoi, merde !

Et là, on nous supprime ce qu’on a acquis dans le sang ?

Alors je dis non.

On est le pays des Lumières, le pays qui rayonnait il y a fort longtemps (je sais c’est très vague).

Le pays de Patrick Sébastien

Et là, on nous supprime le droit à la culture, et l’égalité.

Mais regardez sur le fronton de chaque mairie, y a marqué quoi ?

Liberté Egalité Fraternité.

Alors bordel de merde, défendons c’es acquis qui n’ont jamais été innés.

 Défendons nos lettres classiques, notre Histoire Ancienne, notre Histoire Antique, parce que la France est un melting pot de culture, brassées autours d’une baguette, si tu veux, mais brassées autours de cette idée :

Liberté.

Alors oui, j’aime mes lettres classiques, mes versions latines où j’ai pas forcément des bonnes notes, j’aime l’Antiquité, le Moyen Age et l’Ancien Français.

C’est rapide, pas très construit, yé sais, mais je suis fatiguée. Très fatiguée.

 

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21 février 2009 6 21 /02 /février /2009 10:47
Bon, les choux, je vous aime d'un amour pur et profond, mais là, j'ai moyen le temps d'écrire beaucoup d'articles, je suis fatiguée, la grève et le boulot personnel.
Je me suis foirée en exposé, c'pas trop grave, j'aime toujours le Lascar.
et hier, je me suis couchée à 3h 17 du mat'.
alors tu comprendras.
merci de votre clémence, chpoupinou et chpoupinette
je reviens vite, ou pas, on verra.
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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 21:13
Je trouve ce passage particulièrement beau.
c'est vrai?


L'instant poétique.
bonsoir


 

C’est quoi ce bordel avec l’amour là ?
Comment ça se fait qu’on devient dingue à ce point.
T’imagines le temps qu’on passe à se prendre la tête là-dessus ?
Quand t’as quelqu’un : Est-ce que c’est la bonne ?
Est-ce que je l’aime vraiment ?
Et est-ce qu’elle m’aime autant que moi je l’aime ?
Est-ce qu’on peut aimer plusieurs personnes dans sa vie ?
Pourquoi on se sépare ?
Est-ce qu’on peut réparer les choses quand on sent que ça se barre en couille ?
Toutes ces questions à la con qu’on se pose tout le temps là…
Pourtant on peut pas dire qu’on y connait rien, on est préparé quand même.
On lit des histoires d’amour, on lit des contes, on lit des romans d’amour, on voit des films d’amour, l’amour, l’amour, l’amour…”

 

 

J’ai envie de mettre

Je valide.

Je valide tout court.


Stéréotype girl.


et non, je n'aurais pas encore mes dreads demain...



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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 18:55

Je crois qu’en ce moment, il se passe quelque chose de fou.

Je crois aussi que quand on sera vieux, on pourra dire à nos petits enfants, ou à notre chien à aveugle et incontinent, selon la carrière sentimentale empruntée ( si tu hésites entre zoophilie, et vie sentimentale, disons, « normale », je te conseille la zoophilie, pour des raisons pratiques, cela va de soit), « mémé a fait janvier 2009 » !

Et on sera fier, comme nos petits soixante-huitards.

Parce que je crois aussi (je crois à beaucoup de choses t’as vu) qu’en ce moment, on existe vraiment.

Là, c’est le moment où tu te mets à écouter Jeune et con, vieux et fou.

Je ne t’apprendrai surement rien en te disant que c’est en agissant que l’homme existe.

Mais en ce moment, j’ai vraiment l’impression d’exister pour quelque chose.

Je vais pas te dire que j’ai trouvé ma voie et mon but dans la vie, je crois que faire la grève n’est pas forcément rentable, je dois te l’avouer.

Et puis, il n’y a pas encore de carrière grève.

Ce que je veux dire, c’est qu’en ce moment, on a le pouvoir de s’exprimer, de sortir de la masse.

D’agir.

Je crois que le militantisme nous donne un embryon de réponse à la question « pourquoi je suis ici ? »

Un embryon, j’te rassure.

Dire que je n’existais pas avant la grève serait de la connerie pure.

Je vivais et j’existais avant tout ça.

Mais cette grève m’a donné une raison supplémentaire le matin.

Je sais que je peux faire changer les choses.

J’agis donc je suis.

Je suis peut-être légèrement en stand by littéraire, mais certainement pas intellectuel.

Je réfléchis beaucoup plus qu’en prenant en note certains cours.

Se substitue à l’activité passive des étudiants, une soif active de comprendre, de réfléchir.

Je vais vous dire, en ce moment, j’aime ma Fac.

Quelle facultionisme !

T’as vu elle fait même des néologismes.

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